C’est avec une pointe de nostalgie que je vous annonce la fin du magazine 1974 de Dafy Moto, qui a tiré sa révérence cette année. Après une série de numéros plus réussis les uns que les autres, cette belle aventure éditoriale se termine, laissant derrière elle de précieux souvenirs et une expérience professionnelle unique.

Une parenthèse professionnelle rare et intense

Collaborer avec Dafy a été bien plus qu’un simple projet. C’était une occasion de mêler ma passion pour la moto, la photo et les voyages. Ce magazine était une ode à l’univers des motards, célébrant leur soif de liberté, leur goût pour les routes sinueuses et leur amour pour les machines qui font vibrer le bitume.

Grâce à cette expérience, j’ai eu la chance de :

• Rencontrer des passionnés de tous horizons, des experts chevronnés aux amateurs enthousiastes, tous animés par la même flamme.
• Explorer les routes et régions de France, du calme des campagnes aux cols montagneux, en passant par des paysages à couper le souffle.
• Tester des bolides mémorables, des motos puissantes et audacieuses qui m’ont laissé des souvenirs indélébiles.

Chaque reportage, chaque session d’essai ou chaque échange avec les motards a été une opportunité de partager une passion commune, dans un environnement où l’énergie et la camaraderie étaient palpables.

Un magazine qui marquait sa différence

1974 n’était pas qu’un simple magazine moto ; il était une véritable expérience. Avec son ton décalé, ses reportages immersifs et son esthétique audacieuse, il offrait quelque chose de différent, une vision rafraîchissante du monde motard. Ce format innovant a séduit une communauté de lecteurs fidèles et passionnés, qui l’ont suivi jusqu’à son dernier numéro.

Une belle conclusion

Même si l’histoire de 1974 prend fin, l’impact de cette aventure reste immense. Elle m’a permis de grandir, de repousser mes limites, et de vivre des moments d’intense liberté sur les routes, avec le vent dans le dos et l’adrénaline en pointe.

Un grand merci à l’équipe de Dafy Moto et spécialement Stéphane, aux lecteurs, aux collaborateurs et à toutes les personnes rencontrées en chemin. Ce fut une aventure professionnelle et humaine comme on en vit rarement.

Si 1974 s’arrête, les souvenirs et les rencontres qu’il a créés, eux, resteront gravés pour toujours.